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Principauté de FONGO-TONGO à 13 km de DSCHANG
Temp:5°-23° Tourisme:Grottes,chutes (Mami-Wata-82m,Folépé 1&2), Kungmondji(1986m),Résistances historiques,forêts,bauxite,agro-pastorale
Publié(e) par NGOUNE F Hilaire le 9 octobre 2018 à 13:00 1 Commentaire 1 J'aime
Publié(e) par NGOUNE F Hilaire le 29 août 2014 à 20:07 3 Commentaires 2 J'aime
Publié(e) par NGOUNE F Hilaire le 7 octobre 2011 à 20:30 0 Commentaires 0 J'aime
Publié(e) par Djeufack Tawa Blaise le 17 décembre 2013 à 17:26 1 Commentaire 0 J'aime
Publié(e) par AGUEDIA NGUIMGO GHISLAIN le 6 août 2012 à 11:57 5 Commentaires 0 J'aime
Publié(e) par Djeufack Tawa Blaise le 13 avril 2012 à 13:27 0 Commentaires 0 J'aime
Publié(e) par AGUEDIA NGUIMGO GHISLAIN le 15 juin 2016 à 20:30 1 Commentaire 1 J'aime
Publié(e) par TSAFACK JEAN CLAUDE le 11 septembre 2014 à 9:26 0 Commentaires 0 J'aime
Publié(e) par TSAFACK JEAN CLAUDE le 18 mars 2014 à 12:51 1 Commentaire 1 J'aime
Publié(e) par Djeufack Tawa Blaise le 17 décembre 2013 à 17:18 0 Commentaires 0 J'aime
La dot et les rites de veuvage sont aujourd’hui vidés de leur projet originaire par manque de connaissance de ce qu’ils ont été dans la tradition et l’héritage des ancêtres. Ils subissent une dépravation profonde liée à la crise morale dont souffre la société camerounaise. Une crise des valeurs qui met aujourd’hui l’argent et le goût du lucre au centre des relations sociales, au point de faire de la dot une vente aux enchères et du veuvage une opportunité d’exploitation financière et de spoliation qui laissent les veuves et les orphelins traumatisés et exsangues. On voit à ce niveau que le phénomène concernent beaucoup plus les femmes que les hommes dans une société dont les mentalités ont tendance à culpabiliser foncièrement les veuves en les accusant , ouvertement ou insidieusement, de la mort de leur mari, et à dévaloriser la jeune fille, en faisant d’elle un banal objet monnayable.
Les rites post funèbres expose les veuves à des pratiques déshumanisantes, dans de nombreuses régions du pays.En dépit des lois, les coutumes condamnent nombre d’entre elles au calvaire.
Au Cameroun, la veuve est encore victime de toutes sortes de violences. La loi et les décisions de justice en sa faveur sont bafouées par ses bourreaux. Reportage.
Dans ce pays d’Afrique centrale, la disparition du mari laisse souvent l’épouse dans le désarroi, parce qu’elle devient la cible privilégiée de la famille de son défunt mari. Quelle que soit la tribu ou les coutumes en place, la veuve est une proie pour les uns et les autres, et chaque acte posé sur elle est de nature à porter atteinte à sa dignité.
Pour Félix Fotso, originaire de la province de l’Ouest, "il n’y a rien de plus avilissant que de demander à une veuve de vivre dans les draps de son beau-frère ou de son beau-père". Cette pratique, en vigueur dans la majorité des tribus Bamiléké de l’Ouest, est, selon lui, une violence psychologique qu’il faut condamner car les conséquences affectent la société entière. "Quand une veuve devient la femme de son beau-père ou de son beau- frère, il se pose un problème dans la succession, car les enfants issus du deuxième mariage n’ont pas les mêmes droits que ceux du mari défunt. En plus, lorsque cette femme décède, il est interdit de l’inhumer dans la concession de son premier époux et chez le second, il peut arriver qu’on ne l’admette pas", argumente-t-il.
Originaire de la province du Centre, Cyrille Noah estime, pour sa part, qu’il est important que chaque homme laisse une lettre à sa famille lui interdisant de maltraiter son épouse sous le prétexte des rites de veuvage. "C’est le moment où beaucoup de comptes se règlent sur le dos de la femme et, parfois, si le défunt a laissé des biens, on profite du temps du rite pour éliminer la femme ou, alors, lui jeter un mauvais sort dont le traitement va lui faire dépenser tous ces biens", défend-il.
Citant l’exemple de sa tante, il explique que celle-ci a été chassée mystiquement de la famille de son défunt époux après s’être soumise au rite de veuvage. "A son retour du bain dans le ruisseau, elle a délibérément décidé d’emballer ses effets pour partir. Ce n’est que plusieurs années après, qu’on nous a dit que pendant le bain, on a utilisé une herbe qui l’a fait agir de la sorte", explique-t-il avant de s’interroger : "pourquoi tout cela alors qu’elle a souffert toute seule pendant la maladie de son mari ?"
La loi n’arrive pas à protéger les veuves
Aucune région du Cameroun n’échappe à la pratique, qui revêt cependant des formes diverses d’une localité à une autre. Originaire de la province de l’Est, Eugénie Atouba indique que le dossier de pension de sa sœur, bloqué par le refus de la belle- famille de tenir un conseil n’a été débloquée que grâce à l’intervention des responsables du ministère des Affaires sociales, collègues du défunt. Malheureusement, s’émeut-elle encore, sa sœur est décédée brutalement quelques jours seulement avant le déblocage de l’argent du rappel.
Selon le sociologue-anthropologue Georges N. , ce traitement infligé à la veuve émane de la conception très ancienne de la place de la femme dans la société, mais l’ampleur que prend le phénomène aujourd’hui mérite que les autorités prennent des mesures nécessaires. La femme, explique-t-il, a toujours été considérée comme un objet dont se sert l’homme et qui ne doit en aucun cas avoir droit à la moindre considération. "C’est la raison pour laquelle, certains hommes avertis prennent des précautions testamentaires pour protéger leur épouse de certains abus."
Le juriste Oumbémou Ambassa constate que les veuves sont de plus en plus abusées, alors que la loi camerounaise protège la veuve sur les plan civil et pénal. Cependant, souligne-t-il, lorsqu’une famille décide unanimement de faire partir une veuve de son territoire la loi devient impuissante. Selon lui, il a été constaté qu’après une décision de justice favorisant la veuve, la famille du défunt continue le combat et pousse ainsi certaines femmes à abandonner, histoire de sauver leur peau et la vie de leurs enfants.
les veuves sont victimes d'attaques mystiques et diabolique, par des individus plus ou moins proches de la belle famille et que l'on présente le plus souvent comme des ennemies du défunt mari, des cousins et cousines rongés par une jalousie mortelle. Ou encore, des mâles en mal de sensations, voulant assouvir leur libido sur la pauvre veuve. Des pratiques et autres comportements qui déshumanisent la femme dans notre société et qui devraient en appeler au sens de la morale et de la dignité humaine, les gardiens de la tradition. c'est pourquoi un travail de sensibilisation et d'épuration des mentalités Doit etre fait dans nos communautés villageoises. À commencer par les chefs de villages et les patriarches qui curieusement reste muets et complices devant ces actes criminels. Lorsqu'une tradition ne s'abreuve pas de la source des Saintes écritures, elle est appelée à disparaitre.
Espérons donc qu'a l’issue d’une campagne intense et persuasive menée par le Gabon, à l’initiative de la Première Dame, Sylvia Bongo Ondimba, à la quelle l'Assemblée générale des Nations Unies a approuvé la résolution créant une Journée Internationale de la Veuve à partir de 2011, que la veuve sera mieux traité et respecté dans nos sociétés.
Journée qui aura lieu chaque 23 juin.
Qu'on laisse les veuves pleurer tranquillement leurs maris >>
Le veuvage dans son vécu est une aberration, et ce malgré le fait qu'on lui attribue des occultes. Car voyez vous, perdre son mari est déjà quelque chose de très affligeant. Alors qu'à cela on vienne vous ajouter des sévices corporels et psychologique est suicide à mon avis. Je crois qu'il faut dire non aux rites de veuvage. Nous sommes aujourd'hui dans une époque moderne, ou les femmes sont déjà très éprouvées par les hommes à travers nos traditions. Dans certaines sociétés même, elles ont les mêmes droits que ceux-ci. Pourquoi ces pratiques ne sont pas aussi infligées aux hommes ? Bref, qu'on laisse la veuve pleurer son défunt mari en paix.
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F Hilaire NGOUNE
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